Membra Jesu nostri : La Passion selon Buxtehude


Membra Jesu nostri
La Passion selon Buxtehude

Mardi 18 mars 2025, 20h30

Cathédrale Notre-Dame de Paris, Paris (75)

Avec les Membra Jesu nostri, Dietrich Buxtehude livre l’un des seuls « cycles » de sa production. Il s’agit de sept cantates évoquant les plaies du Christ crucifié, rejoignant une tradition de dévotion très ancienne. Cette partition méditative fait indubitablement partie des chefs-d’œuvre du compositeur.

Avec les Membra Jesu nostri, Dietrich Buxtehude livre l’un des seuls « cycles » de sa production. Il s’agit de sept cantates évoquant les plaies du Christ crucifié, rejoignant une tradition de dévotion très ancienne : les blessures de Jésus sont le symbole de son martyre pour sauver les hommes. Elles sont le point de départ de cette partition méditative construite sur un mouvement ascendant : on s’attarde d’abord sur les pieds du Christ pour arriver à la fin à son visage, en passant par les genoux, les mains, le flanc, la poitrine et le cœur. On ne sait pas très bien à quoi était destinée l’œuvre de Buxtehude, ni si les cantates étaient données les unes à la suite des autres en un tout, mais elles font indubitablement partie des chefs-d’œuvre du compositeur. Leur structure rigoureuse et leur équilibre sont exemplaires, se mettant au service de l’émotion et de la réflexion. On cite souvent Buxtehude parmi les grands prédécesseurs de Bach et une telle partition confirme la légitimité de cette assertion.

Distribution

Ensemble vocal de la Maîtrise Notre-Dame de Paris
Yves Castagnet, orgue
Henri Chalet, direction

Programme

Dietrich Buxtehude (1637-1707)
Membra Jesu nostri


Réserver

Tarifs

Catégorie 1 – Participation aux frais : 40,00 €
Catégorie 2 – Participation aux frais : 25,00 €
Catégorie 2 – Participation aux frais – Réduit* : 15,00 €
*Enfants et jeunes – 26 ans, Demandeurs d’emploi, Bénéficiaires des minima sociaux

Comment venir ?

Cathédrale Notre-Dame de Paris
6 Parvis Notre-Dame – Place Jean-Paul II
75004, Paris
Île-de-France

Crédit photo : ©Léonard de Serres